Le cerveau du volcan
Il ne réfléchit pas,
Il va où bon lui semble,
Il ne se maîtrise pas,
Où parfois difficilement,
Il fait des dégâts sur la planète,
Il détruit tout sur son passage,
Il n'a aucune pitié à ce qu'il fait,
Il se fait entendre mais !
Quand il est trop tard.
Il ne réfléchit pas,
Mais ! Il fait très mal,
Il apporte le malheur,
Pour ceux qu'ils le vivent,
Il faut beaucoup d'acharnement pour y faire face,
Et il faut reconstruire tout,
Rebâtir sa vie, la ville, les espoirs.
Il fonce à vive allure,
Avec une très forte chaleur,
Elle chauffe tout,
Elle cuit sur sa route
N'épargne personne,
Ne fait pas de différence social,
Quand il se réveil,
C'est pour faire un énorme bruit.
Ce faisant attendre dans toute la ville,
Chaque quartier doit partir se réfugier ailleurs,
Tout est question d'heure pour que les dégâts présents,
Chaque minutes compte,
Les secondes défilent trop vites.
Voilà qu'il exprime enfin avec force,
La lave déferle partout à grande vitesse,
Les derniers habitants se réfugient le plus loin que possible,
Ils sont en train de vivre un cauchemar,
Enfin tout le monde a pu être sauvé.
Mais les habitations sont détruites,
Les gens sont vivants,
Victime de sa colère il les a mit à la rue,
Voyant l'ampleur de la catastrophe,
Ils avait prévu ça,
Un endroit gigantesque pour que les gens ne soient pas à la rue.
Peut à peut la vie reprend doucement,
Et la joie de vivre avec,
Après tant de galère du a la destination de la ville,
Ils vont la reconstruire et la rendre plus forte.
Elizabeth Magnus
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