Dans la nuit
Elle a les yeux ne tenant plus debout,
Elle va les mettre par terre,
Puis les remettre,
Afin de les repasser et de les placés,
Pour qu'ils soient doux et sans
un sourcil devant.
Elle a galéré à écrire ses déboires avec ses yeux,
Ne voyant plus clairement a cette heure nocturne et la chaleur.
Elle n'a plus la force de tenir debout,
Même endormi ses nuits sont courtes,
Elle lutte difficilement pour trouvé son sommeil,
Ses journées sont toutes aussi dure,
Elle dort debout, des fragments de coupures,
Quand elle pose ses yeux sur le livre,
Elle donne l'impression que c'est le livre qui la regard.
Son sommeil est très court,
Ses journées épuisantes,
Elle vit des moment pénibles,
Un enfer par la chaleur,
Elle est venue mais n'est pas repartie
Elle est là pour longtemps,
Chaque jour se ressemble avec le soleil.
À quand des nuits remplies,
À quand des journées vivables,
Elle étouffe chaque jour,
Elle n'a pas d'appétit où peu,
Elle se fatigue à chaque pas,
Elle voudrait tant que l'air soit respirable.
Puis soudainement la fraîcheur,
Un paradis où il fait bon vivre,
Quel soulagement ce temps,
De la pluie, de l'orage violent,
Mais une température chaud encore,
Déjà plus supportable à vivre.
Elizabeth Magnus
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