Elizabeth Magnus les mots du cœur

Par une nuit froide,

Le vent tape sur les vitres,

Elles sont solides,

Il cogne dessus avec force,

Il semble avoir prit son quartiers pour la nuit,

Les passagers sont calmes comme endormies,

Un silence plonge tout le monde dans un sommeil de plomb, 

Tout paraît paisible.

Sur le coup totalement surpris,

Des bruits se font entendre,

Il donne l'impression d'avancer,

Au cœur de cette tranquillité,

Quelques passagers se réveillent d'un sursauts,

Puis le calme de nouveau, 

Sans un bruit tout avait disparus,

Alors ils s'endorment à présent.

Par une nuit froide,

Les ténèbres sombrent peut à peut dans la lumière,

Elle les réchauffent tant,

Qu'ils en oublient le froid, le vent,

La nuit est devenue tranquille,

Seul le bruit du train sur les rails se font entendre,

Soudainement de façon très brutale,

Une grosse rafale de vent retentit sur le train,

Une légère secousse c'est fait sentir.

Par une nuit froide,

La lune donne sa luminosité,

Telle une lumière scintillante,

Le vent c'est encore invite autour du train,

Alors que tant de passagers voyages durant la nuit,

Il frappe, il frappe tant que le train bascule légèrement,

Il reprend vite sa position initiale,

Pour que le trajet ce déroule sans difficulté apparente.

Après une nuit agitée en vent violent,

Au petit matin, la lune discrètement sans va,

Pour laissé sa place au soleil,

A l'approche de la gare d'arrivée,

Les voyageurs doucement font surfaces,

Ils se préparent à qui le train de nuit pour une navette,

Quelques heures encore et la destination finale,

Un champs de tournesol aussi chaud que le soleil,

Les montagnes plein de verdures,

Un paysage incroyablement magnifique.

Chaque pas, le poumon vit à l'air pur.

Elizabeth Magnus